Voir le replay

Mécanisme de financement mondial (GFF) : investir dans l’humain

Suivre sur Twitter #santépourtous

Les investissements dans la santé et la nutrition des femmes, des enfants et des adolescent(e)s sauvent des vies et sont essentiels pour développer le capital humain de demain. Tel était le thème de cet événement coorganisé par la Banque mondiale et le Mécanisme de financement mondial (GFF) et réunissant des dirigeants mondiaux du développement, des représentants des pays participant au GFF et des jeunes.

La directrice générale de la Banque mondiale Kristalina Georgieva a lancé la discussion en soulignant combien il est urgent d’investir dans la santé et la nutrition des femmes et des enfants, et en rappelant que l’action du GFF permet effectivement de sauver des vies. Mais il est indispensable d’investir davantage dans ce mécanisme, a insisté le ministre norvégien du Développement international Nikolai Astrup.

L’événement, qui se déroulait alors que l’on célébrait la Journée internationale des filles, a donné lieu à une conversation entre Melinda Gates, coprésidente de la Fondation Gates, et la jeune Nur Wulan Nugrahani, elle-même animatrice jeunesse en Indonésie, sur l’importance de la santé sexuelle et reproductive et de l’autonomisation des jeunes.

Joanne Carter, directrice exécutive de RESULTS, a ensuite animé un panel sur le rôle du GFF dans la réalisation des objectifs de développement du capital humain. Ont participé au débat : Jacob Jusu Saffa, ministre des Finances de la Sierra Leone ; Bambang Brodjonegoro, ministre indonésien de la Planification nationale ; William Francis Morneau, ministre canadien des Finances ; Henrietta Fore, directrice générale de l’UNICEF ; Nick Dyer, directeur général des politiques et programmes mondiaux au Département britannique du développement international (DfID) ; et Kevin Watkins, directeur général de Save the Children. Annette Dixon, vice-présidente de la Banque mondiale pour le Développement humain, a clos le débat.

 

Intervenants