Sélectionnez un événement parmi la liste ci-dessous et découvrez les recherches et activités menées par le Groupe de la Banque mondiale. Comment la principale institution financière internationale dédiée au développement soutient-elle les pays à revenu faible et intermédiaire dans leur développement économique et leur action de lutte contre la pauvreté ?

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Événements à venir

L’IDA au service de l’Afrique : Sommet des chefs d’État

Le 29 avril, des représentants de gouvernements, de la société civile et de la jeunesse venus de toute l’Afrique subsaharienne se rassembleront pour exprimer leurs ambitions et appeler à plus de soutien pour passer de la vision à l’action.

Événements passés

Passer du défi à l'action : Étendre la couverture santé à tous

Comment élargir l'accès à des soins abordables et de qualité dans le monde entier ? Vous le saurez en suivant cet évènement consacré aux enjeux de la santé pour tous.

Accélérer le développement en temps de crises

Nous réunissons des personnalités de premier plan pour éclairer ces crises et esquisser des solutions face à des enjeux qui comptent parmi les plus importants de notre temps : les dérèglements du climat, l’insécurité alimentaire, les risques pandémiques, l’aggravation de la fragilité et le ralentissement du recul de la pauvreté. 

Le financement de la santé à l'heure de la COVID-19

Le panel analysera les derniers résultats concernant l'impact de la crise économique sur les dépenses de santé des pays. Les intervenants exploreront les conséquences des choix de financement de la santé pour mettre fin à la pandémie et regagner le terrain perdu en matière de couverture sanitaire universelle (CSU).

Le capital humain et la COVID-19

Suivre sur Twitter #CapitalHumain & #IFCHealth   Parce qu’elle met à nu les faiblesses des systèmes de santé, d’éducation et de protection sociale, la pandémie de COVID-19 risque d'annuler les avancées accomplies dans le développement du capital humain. Les deux panels réunis pour cette discussion se sont penchés sur les mesures immédiates et à plus long terme qui pourraient permettre d’éloigner ce spectre et de favoriser une reprise plus durable.  Mari Pangestu, directrice générale de la Banque mondiale pour les politiques de développement et les partenariats, a précisé la menace que fait peser la crise de la COVID sur le capital humain et tracé les grandes lignes de l’action déployée par l’institution pour aider les pays à endiguer la pandémie, sauver des vies et rebâtir leur économie.  La parole a été donnée aux soignants, en première ligne dans la lutte contre le coronavirus, ...

Session plénière des Assemblées annuelles 2020

Le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass, et la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva, se sont exprimés lors de la session plénière des Assemblées annuelles, le 15 octobre, depuis la ville de Washington aux Etats-unis. Dans son allocution en séance plénière, David Malpass a souligné ces sujets d’inquiétude, en mettant en garde contre une pandémie qui « pourrait bien être à l’origine d’une décennie perdue », marquée par « une croissance faible, un effondrement de nombreux systèmes de santé et d’éducation et une nouvelle série de crises des dettes souveraines ».

Réponses d'experts : aider les pays à lutter contre le coronavirus

Alors que le coronavirus se propage à travers le monde, il faut agir vite pour aider les pays à y faire face. Une riposte rapide peut permettre d'arrêter la transmission et de sauver des vies, sachant que ce sont les pays les plus pauvres, dont les systèmes de santé sont déficients, qui paient souvent le plus lourd tribut à ce type d'épidémie. Le Groupe de la Banque mondiale mobilise une aide de 12 milliards de dollars pour apporter un appui rapide aux pays confrontés aux conséquences sanitaires et économiques du Covid-19. Il s’est engagé à accompagner les pays pour qu’ils puissent former un plus grand nombre d’agents de santé de première ligne, améliorer l'accès aux soins pour les plus pauvres et renforcer le suivi épidémiologique. Pour détailler le soutien fourni par le Groupe de la Banque mondiale, Réponses d'experts a interrogé le Dr Muhammad Pate, directeur mondial pour la ...

Sommet sur le capital humain 2018

Un pays ne peut espérer s’imposer dans l’économie mondiale sans une population en bonne santé, instruite et résiliente. D’où cet appel urgent à l’action lancé par des dirigeants et des influenceurs du monde entier quelques heures après la présentation du nouvel indice du capital humain de la Banque mondiale.  (Télécharger le pdf en anglais) Ce troisième sommet annuel sur le capital humain s’ouvre par une discussion de haut niveau entre le Premier ministre de Singapour, Lee Hsien Loong, et le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, autour de la transformation de la nature du travail et de l’urgence à privilégier les investissements humains. Les deux dirigeants insistent aussi sur l’importance de se concentrer sur les résultats et la demande, plus que sur les moyens, ainsi que sur l’enjeu, pour tous les pays évalués dans l’indice, d’agir dans ...

Garantir l’accès à l’eau et à l’assainissement, avec Matt Damon (Water.org)

Comment remédier à des besoins de financement estimés à 114 milliards de dollars par an jusqu’à 2030 ? Cette question était au cœur d’une réunion des ministres des Finances sur l’eau et l’assainissement pour tous coorganisée par la Banque mondiale dans le cadre de ses Réunions de printemps avec le FMI. Il s’agit de la première réunion de haut niveau consacrée à ce dossier depuis le lancement des ODD. Résumé de l'événement : Matt Damon s’est exprimé devant les dirigeants rassemblés à l’occasion de la réunion des ministres des Finances sur l’eau et l’assainissement pour tous. Le cofondateur de Water.org les a appelés à prendre en considération toutes les options de financement disponibles afin de garantir un accès universel et durable à l’eau potable et aux services d’assainissement... Lire la suite »  

Investir dans les adolescents pour changer le monde de demain

Plusieurs ministres et personnalités engagées dans la cause adolescente, dont Melinda Gates, étaient réunis à l’occasion des Réunions de printemps pour mettre en avant l’importance capitale de l’investissement dans la jeunesse pour l’avenir des pays en développement. Un chiffre suffit à s’en convaincre : 90 % des 1,2 milliard d’adolescents dans le monde vivent dans des pays en développement. Le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, a ouvert la discussion en insistant sur la nécessité d’investir de toute urgence dans les adolescents, et dans les filles tout particulièrement. Les jeunes ont des aspirations et, s’ils n’ont pas la possibilité de les concrétiser, leurs frustrations risquent de les conduire sur le chemin de l’extrémisme et de la migration. En outre, les pays ne seront pas en mesure d’affronter la concurrence de l’économie mondiale s’ils ne se consacrent pas aux ...

Petite enfance : identifier les synergies et catalyser l’action

Investir dans la petite enfance, c’est transformer la vie d’un enfant, mais c’est aussi agir sur la trajectoire de croissance de toute une nation et sur sa compétitivité future. Grâce à des données scientifiques de plus en plus abondantes, nous savons à présent que les investissements consentis dans le jeune enfant, et tout particulièrement dans les 1 000 premiers jours de sa vie, sont essentiels pour lui permettre de réaliser tout son potentiel et d’échapper au cercle vicieux de la pauvreté. Une table ronde des partenaires de la petite enfance se tiendra à l’occasion des Réunions de printemps 2017 de la Banque mondiale et du FMI. Elle rassemblera des dirigeants d’organismes mondiaux, aux côtés de représentants de la société civile, de fondations et du secteur privé, tous unis par la conviction que les investissements dans le jeune enfant sont essentiels pour permettre aux familles et aux pays de ré...

État civil et développement : exploiter les solutions numériques

On compte 1,5 milliard de personnes dans le monde qui ne sont pas en mesure de prouver leur identité. Sans titre d’identité, comment ouvrir un compte en banque, prétendre à des prestations sociales ou souscrire une assurance santé ? De nos jours, les pays peuvent exploiter les nouvelles technologies pour mettre en place des systèmes d’identification rigoureux et inclusifs. Certains sont ainsi parvenus à lever d’importantes entraves au développement, comme en témoigneront lors de cette discussion les représentants de gouvernement et du secteur privé réunis autour de l’économiste en chef de la Banque mondiale.

Sortir de l'ombre : la santé mentale doit devenir une priorité du développement mondial

Le fardeau que font peser les maladies mentales sur la société est immense. La dépression touche 350 millions personnes et constitue la première cause d’invalidité dans le monde. Et pourtant les troubles mentaux sont encore aujourd’hui largement occultés en raison de la stigmatisation, des préjugés et des peurs qu’ils suscitent. Il est d’autant plus urgent d’agir que ce phénomène est aggravé par les migrations forcées et les conflits prolongés qui sévissent actuellement sur la planète. Dans le cadre de deux journées spéciales consacrées à la santé mentale, le Groupe de la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé s’associent pour une discussion de haut niveau axée sur la nécessité de mettre les troubles mentaux au centre du programme mondial pour le développement. L’objectif est de mobiliser les ministres des finances, les organisations multilatérales et ...

Sommet : Mesure et contrôle des résultats au service de la santé

Ce sommet de trois jours, qui a rassemblé partenaires de développement et hauts dirigeants du secteur sanitaire, et notamment les représentants de nombreux pays, a eu pour objectif d’entériner un programme d’action commun destiné à améliorer les performances de santé publique en renforçant les systèmes de mesure et de contrôle. Cette feuille de route, axée sur l’horizon 2030, porte sur des objectifs de santé nationaux ainsi que sur les Objectifs mondiaux de développement durable relatifs à la santé. La manifestation, qui a combiné allocutions, exposés, DevTalks et débats, a permis d’examiner l’agenda de l’après-2015 et de définir des priorités et des recommandations en matière de mesure des résultats dans le secteur sanitaire.

Ebola : sur la voie du redressement

Le président du Groupe de la Banque mondiale Jim Yong Kim préside cette table ronde au cours de laquelle les chefs d’État de la Guinée, du Libéria et de la Sierra Leone exposeront leurs plans de redressement post-Ebola aux ministres des finances et du développement et à leurs partenaires internationaux. L’objectif est de mobiliser un soutien mondial qui aidera les trois pays frappés par l’épidémie à l’éradiquer durablement, tout en favorisant la relance et en renforçant la résilience des systèmes de santé et des économies.

La force de la nutrition

Le Groupe de la Banque mondiale est partie prenante de la création d’un nouveau mécanisme de financement novateur baptisé « The Power of Nutrition » et visant spécifiquement à mobiliser jusqu’à un milliard de dollars de fonds publics et privés en faveur de l’amélioration de la nutrition chez l’enfant. La discussion a réuni, aux côtés de plusieurs ministres des Finances, des responsables des organisations partenaires de ce nouveau mécanisme : Children’s Investment Fund Foundation, UBS Optimus Foundation, DfID (département britannique du développement international), UNICEF et Groupe de la Banque mondiale. Les participants ont présenté le nouveau mécanisme et débattu des enjeux suivants : pourquoi est-il important d’investir dans la nutrition des enfants ? À quelles difficultés les pays sont-ils confrontés ? Quelles sont, concrètement, les étapes à suivre pour déployer des programmes à fort impact ? Le nouveau mécanisme reposera notamment sur la création d’un ...

L’épidémie d’Ebola : pouvait-on l’éviter ?

L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest a eu un impact catastrophique sur les systèmes de santé déjà fragiles de la Guinée, du Libéria et de la Sierra Leone. À l’occasion d’un débat de 90 minutes, des experts mondiaux de la santé ont évoqué les défis rencontrés par les États fragiles affectés par un manque de ressources, de gouvernance et d’accès aux services de santé et sont donc particulièrement vulnérables en cas de catastrophe sanitaire. En présence de David Nabarro, Envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU pour la lutte contre Ebola, du docteur Edward Kelley, de l’Organisation mondiale de la Santé, de Tolbert Nyenswah, vice-ministre libérien de la Santé, et des experts de la Banque mondiale ont débattu des moyens de renforcer les systèmes de santé dans les États fragiles et tiré les enseignements de ...

Impact de la crise Ebola : le point de vue des pays concernés

Cet événément a réuni les dirigeants des trois pays d'Afrique de l'Ouest les plus touchés par la crise Ebola – la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone – ainsi que des experts du développement international autour d'un débat sur les besoins et des solutions possibles pour faire face à la fois aux conséquences sanitaires et socioéconomiques de l’épidémie. Ils ont également débattu des options les plus efficaces pour que la communauté internationale améliore son soutien en vue d'éradiquer la progression du virus.