Sélectionnez un événement parmi la liste ci-dessous et découvrez les recherches et activités menées par le Groupe de la Banque mondiale. Comment la principale institution financière internationale dédiée au développement soutient-elle les pays à revenu faible et intermédiaire dans leur développement économique et leur action de lutte contre la pauvreté ?

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Événements passés

État de l’Afrique : des opportunités dans une période de turbulence

L'événement sur l'état de l’Afrique fera le point sur les vents contraires mondiaux qui affectent la région et donnera un aperçu opportun des tendances macroéconomiques, compte tenu du ralentissement du PIB, de la dette élevée et des prix historiquement élevés des denrées alimentaires et de l'énergie.

La croissance inclusive, clé d’une reprise pérenne

Cette discussion mettra en avant l’ensemble des mesures de politique économique nécessaires pour soutenir une croissance inclusive et relancer les dynamiques de réduction de la pauvreté.

Réponses d’experts : les remises migratoires

Si vous envoyez de l’argent à vos proches restés dans votre pays d’origine, vous contribuez à ce que les économistes appellent les « remises migratoires ». Pour l’expert de la Banque mondiale Dilip Ratha, les transferts d’argent des migrants sont des « dollars enveloppés d’affection », une planche de salut qui permet aux familles des pays en développement de subvenir à leurs besoins d’alimentation, d’habillement, de logement et d’éducation. Alors que la pandémie de COVID-19 et la crise économique continuent de s’étendre, les envois de fonds des travailleurs migrants vers leurs pays d’origine devraient reculer de 14 % d’ici 2021 par rapport aux niveaux d’avant la pandémie. Voir le communiqué de presse 1er entretien en avril 2020 - Mise à jour d'octobre 2020  Voir aussi l'entretien de décembre 2019

Journée pour l’élimination de la pauvreté 2020

Le 17 octobre, le Groupe de la Banque mondiale a marqué la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté par un événement virtuel organisé dans le cadre des Assemblées annuelles. Pour la première fois depuis 1998, le taux mondial d'extrême pauvreté va augmenter, a souligné en prélude à la discussion Larry Madowo, correspondant de la BBC en Amérique du Nord et animateur du débat, en citant les conclusions du tout récent Rapport sur la pauvreté et la prospérité partagée.   La menace climatique est particulièrement grande en Asie du Sud et en Afrique, des régions à forte concentration de pauvres. A l'occasion de la journée #EndPoverty, suivez l'intervention de @SaleemHuq qui nous parle de la situation au Bangladesh. https://t.co/mcplnyjh4K pic.twitter.com/WRKzgs41Cq — Banque mondiale (@Banquemondiale) October 17, 2020 Axel van Trotsenburg, directeur général de la Banque mondiale pour les Opérations, s'est fait l’é...

Session plénière des Assemblées annuelles 2020

Le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass, et la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva, se sont exprimés lors de la session plénière des Assemblées annuelles, le 15 octobre, depuis la ville de Washington aux Etats-unis. Dans son allocution en séance plénière, David Malpass a souligné ces sujets d’inquiétude, en mettant en garde contre une pandémie qui « pourrait bien être à l’origine d’une décennie perdue », marquée par « une croissance faible, un effondrement de nombreux systèmes de santé et d’éducation et une nouvelle série de crises des dettes souveraines ».

Réponses d’experts sur la pauvreté dans les pays en conflit

Quand on parle de situations fragiles ou de conflit, on pense généralement au rôle des Casques bleus ou des ONG. Mais alors que l'extrême pauvreté est de plus en plus concentrée dans des pays en proie à la fragilité, au conflit et à la violence, la Banque mondiale intensifie son soutien avec une hausse sans précédent des ressources financières et humaines dédiées à ces situations particulièrement critiques sur le front de la réduction de la pauvreté et du développement économique. La Banque mondiale s’emploie à aider les pays sortant d’un conflit depuis sa création dans les années 1940 : elle a alloué son premier prêt à la France au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Plusieurs décennies plus tard, elle recentre son attention sur les pays en situation de fragilité, de conflit et de violence, où, selon ses projections, vivront près de la moitié des plus pauvres ...

Obtenir de bons résultats sur le plan du développement

À la veille des Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale et du FMI, David Malpass s'est rendu à l'université McGill, d’où il a apporté un éclairage sur les grands défis à relever et les atouts à exploiter pour parvenir à une bonne croissance économique.  L’allocution du président du Groupe de la Banque mondiale a été suivie d’une discussion animée par Isabelle Bajeux-Besnainou, doyenne de la faculté de gestion de l'université McGill.  Voir la transcription du discours

Investir dans les adolescents pour changer le monde de demain

Plusieurs ministres et personnalités engagées dans la cause adolescente, dont Melinda Gates, étaient réunis à l’occasion des Réunions de printemps pour mettre en avant l’importance capitale de l’investissement dans la jeunesse pour l’avenir des pays en développement. Un chiffre suffit à s’en convaincre : 90 % des 1,2 milliard d’adolescents dans le monde vivent dans des pays en développement. Le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, a ouvert la discussion en insistant sur la nécessité d’investir de toute urgence dans les adolescents, et dans les filles tout particulièrement. Les jeunes ont des aspirations et, s’ils n’ont pas la possibilité de les concrétiser, leurs frustrations risquent de les conduire sur le chemin de l’extrémisme et de la migration. En outre, les pays ne seront pas en mesure d’affronter la concurrence de l’économie mondiale s’ils ne se consacrent pas aux ...

Pauvreté et prospérité partagée : agir contre les inégalités

Face au ralentissement attendu de la croissance économique mondiale dans les prochaines années, les pays devront, plus que jamais, agir de concert pour mettre en œuvre les politiques et les programmes qui permettront d’améliorer le sort des moins favorisés. Cette discussion se penchera sur les conclusions et les recommandations d’un nouveau rapport phare du Groupe de la Banque mondiale consacré au double objectif que l’institution s’est fixé : mettre fin à l’extrême pauvreté et promouvoir une prospérité partagée. Alors que la première édition de cette publication porte plus spécialement sur la question des inégalités, la discussion contribuera à faire avancer les travaux de la Banque dans ces domaines fondamentaux et à renforcer son poids dans le débat mondial sur les inégalités, tout en lui permettant de prendre connaissance des suggestions de ses partenaires sur les pistes de collaboration susceptibles de favoriser des avancées. Enfin, les ...

Conférence de presse des Réunions de printemps 2016 : déclaration du président Jim Yong Kim

Le président Jim Yong Kim s'est adressé à la presse en ouverture des Réunions de printemps 2016. Retranscription : Déclaration du président Kim Communiqué : La Banque mondiale voit affluer les demandes de prêts dans un contexte économique morose

Le développement en temps de crise

Des millions de personnes contraintes à l'émigration aux difficultés climatiques croissantes, en passant par les risques d'épidémie internationale, le monde est aujourd’hui confronté à des défis appelés à durer et qui sont particulièrement complexes à relever du fait qu'ils sont doublés d’un ralentissement économique généralisé. La conjugaison de ces crises interpelle l'ensemble de la communauté du développement, notamment le Groupe de la Banque mondiale. Afin de trouver des solutions et de les mettre en œuvre, il faut désormais s'orienter vers des approches novatrices – qu’il s’agisse de recourir davantage à des financements concessionnels ou de nouer des formes de partenariat encore inédites. Le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, évoquera les défis qui sont ceux du développement aujourd’hui, en présentant les réponses apportées par son institution. Des réponses qui consistent notamment à fournir aux réfugiés les ...

2030 en ligne de mire

Pour pouvoir mettre fin à l’extrême pauvreté d’ici 2030, favoriser une prospérité partagée et faire face au changement climatique, il faudra nouer des partenariats et trouver des financements mais aussi faire preuve de créativité et mobiliser la participation citoyenne. Cet événement, qui a réuni de grands dirigeants mondiaux et leaders d’opinion, s'est penché sur les pistes d’action possibles. Il s'est déroulé à une période charnière pour l’avenir de la population et de la planète : deux semaines auparavant, les Nations Unies ont officiellement adopté leurs nouveaux Objectifs de développement durable, tandis que la conférence mondiale sur le climat (COP21) allait se tenir à Paris deux mois plus tard. Il s’agissait donc d’un moment capital pour créer l’élan qui doit dynamiser la communauté mondiale et la pousser à agir en direction de ces objectifs ambitieux.

La foi, instrument de lutte contre l’extrême pauvreté

La communauté des croyants peut-elle contribuer à former un grand mouvement pour mettre fin à l’extrême pauvreté ? Quelle peut être la place des croyants alors que plusieurs régions du monde sont le théâtre de conflits parfois alimentés par des combattants agissant au nom de la religion ? Pourquoi des responsables religieux et le Groupe de la Banque mondiale unissent-ils aujourd’hui leurs forces pour lutter ensemble contre la pauvreté ? Ces questions sot au cœur d’une discussion de haut niveau à laquelle participent, aux côtés du président du Groupe de la Banque mondiale Jim Yong Kim, des responsables religieux et dirigeants d’organisations confessionnelles de premier plan. Le panel s'est penché sur le rôle de la foi dans la lutte contre la pauvreté, à la lumière en particulier d’une initiative récente née dans les milieux religieux autour de cet « impératif moral et spirituel » (The Moral and Spiritual Imperative to End ...

Un monde où chacun compte : l’identification biométrique peut contribuer à la lutte contre la pauvreté

Consacrée à l’importance des registres d’état civil et des systèmes d’identification nationaux, cette discussion de haut niveau expliquera pourquoi les pouvoirs publics ont tout intérêt à investir dans le développement de ces dispositifs. Elle montrera comment l’identification numérique peut permettre aux pays en développement de basculer plus rapidement vers des systèmes de pointe et plus efficaces. Elle explorera également les opportunités de collaboration entre secteur public et secteur privé, ainsi que les moyens grâce auxquels les donateurs et les partenaires au développement pourront aider les pays à se doter de ces systèmes. L’identification unique est une condition préalable pour le développement. En effet, l’enregistrement universel de la population sécurise l’identité juridique des individus. Le Groupe de la Banque mondiale est en train de définir une approche transsectorielle avec les partenaires au développement, les donateurs et les gouvernements, afin d’...

Bâtir une prospérité partagée dans un monde d'inégalités

  Plus d’un milliard de personnes vivent encore aujourd’hui dans la pauvreté, et l’écart entre riches et pauvres continue de se creuser dans nombre de pays en développement. De quelle manière ces inégalités obstruent-elles les perspectives d’avenir des pauvres et pourquoi est-il important de promouvoir une prospérité partagée ? Le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, et l’économiste en chef de la Banque mondiale, Kaushik Basu, ont abordé chacune de ces questions dans le cadre d’un débat animé par la journaliste chinoise Yang Lan et diffusé en direct sur le Web.