Gouvernance

Cet événement virtuel de haut niveau entend nourrir la réflexion et le débat sur l’autonomisation économique des femmes et la construction d’un monde plus équitable et prospère.

Suivez le lancement du Rapport sur le développement dans le monde 2022 qui examine les risques financiers et économiques causés ou exacerbés par la pandémie de COVID-19.

La COVID-19 a fait prendre conscience de la nécessité de renforcer la transparence et la reddition des comptes dans les finances publiques. Les institutions supérieures de contrôle des finances publiques (ISC), également connues sous le nom d'auditeur général (ou vérificateur général au Canada), Cour des comptes, Tribunal de comptes, entre autres, dans différents pays, jouent le rôle le plus important dans la promotion de l’efficience et de la reddition des comptes dans l’administration publique et contribuent à la réalisation des objectifs de développement durable. Les ISC sont chargées de l’audit des recettes, des dépenses, des actifs et des passifs publics visant à vérifier la qualité et la crédibilité de l’information financière produite par le pouvoir exécutif, et à aider le parlement dans son rôle de contrôle budgétaire. L’indépendance est fondamentale pour l’efficacité des ISC en ...

Le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass, et la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva, se sont exprimés lors de la session plénière des Assemblées annuelles, le 15 octobre, depuis la ville de Washington aux Etats-unis. Dans son allocution en séance plénière, David Malpass a souligné ces sujets d’inquiétude, en mettant en garde contre une pandémie qui « pourrait bien être à l’origine d’une décennie perdue », marquée par « une croissance faible, un effondrement de nombreux systèmes de santé et d’éducation et une nouvelle série de crises des dettes souveraines ».

À la veille des Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale et du FMI, David Malpass s'est rendu à l'université McGill, d’où il a apporté un éclairage sur les grands défis à relever et les atouts à exploiter pour parvenir à une bonne croissance économique.  L’allocution du président du Groupe de la Banque mondiale a été suivie d’une discussion animée par Isabelle Bajeux-Besnainou, doyenne de la faculté de gestion de l'université McGill.  Voir la transcription du discours

Revivez une table ronde sur la réforme de la gouvernance au service du développement. Comment identifier les facteurs qui permettent à certaines politiques de fonctionner tandis que d'autres échouent ? C'est à cette question que doit répondre le Rapport sur le développement dans le monde 2017 : la gouvernance et la loi (WDR 2017). Les politiques qui ne parviennent pas à générer des résultats concrets en matière de développement ont trop souvent tendance à perdurer. Il est essentiel de mettre la gouvernance au centre du débat si l'on veut promouvoir une croissance économique soutenue tout en encourageant les sociétés à entretenir un climat égalitaire et pacifique.

L’édition 2016 du baromètre Edelman (a) indique que plus de la moitié de la population mondiale n’a pas confiance dans ses institutions. Même son de cloche du côté de la Banque mondiale où une enquête menée auprès des leaders d’opinion de ses pays clients montre que le déficit de gouvernance se classe désormais au premier rang des priorités d’action. Mais en quoi consiste une gouvernance « efficace » et quels sont les éléments indispensables pour améliorer la conduite des affaires publiques, condition nécessaire à la réalisation des objectifs de développement du 21e siècle ? Découvrez les idées novatrices des participants à cette discussion et, vous aussi, contribuez au débat en faisant part de vos commentaires et de vos questions sur les réseaux sociaux avec le hashtag #goodgov.

Les dirigeants du monde entier se sont fixé une série d’objectifs ambitieux pour mettre fin à l’extrême pauvreté et bâtir un monde plus durable et prospère. Mais que faudra-t-il faire pour les atteindre et où trouvera-t-on les ressources nécessaires ? Nos structures de développement et leurs soutiens financiers sont de plus en plus sous pression et se heurtent à de puissants vents contraires : une conjoncture économique mondiale difficile, des inégalités en hausse, une aggravation des conflits et des fragilités, sans oublier l’impact des catastrophes naturelles et la menace des pandémies. Comment prolonger les progrès déjà accomplis et veiller à ce qu’ils ne soient pas entamés par les difficultés que nous traversons actuellement ? Retrouvez un panel de personnalités de premier plan pour une discussion qui tentera d’éclairer les évolutions à l’œuvre dans le paysage du développement et de proposer une vision des exigences qu’...

Des millions de personnes contraintes à l'émigration aux difficultés climatiques croissantes, en passant par les risques d'épidémie internationale, le monde est aujourd’hui confronté à des défis appelés à durer et qui sont particulièrement complexes à relever du fait qu'ils sont doublés d’un ralentissement économique généralisé. La conjugaison de ces crises interpelle l'ensemble de la communauté du développement, notamment le Groupe de la Banque mondiale. Afin de trouver des solutions et de les mettre en œuvre, il faut désormais s'orienter vers des approches novatrices – qu’il s’agisse de recourir davantage à des financements concessionnels ou de nouer des formes de partenariat encore inédites. Le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, évoquera les défis qui sont ceux du développement aujourd’hui, en présentant les réponses apportées par son institution. Des réponses qui consistent notamment à fournir aux réfugiés les ...

La troisième réunion bisannuelle de l'Alliance internationale des traqueurs de corruption (ICHA 2014) s'est tenue le 8 décembre au siège du Groupe de la Banque mondiale, à Washington. Dans le cadre de ses fonctions à la présidence de l’organisation United for Wildlife, le prince William a ouvert la manifestation, aux côtés du président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim. Cet événement a rassemblé plus de 300 experts et responsables d’organismes de lutte contre la corruption, ainsi que les représentants d’organisations internationales provenant de plus de 120 pays.