Sélectionnez un événement parmi la liste ci-dessous et découvrez les recherches et activités menées par le Groupe de la Banque mondiale. Comment la principale institution financière internationale dédiée au développement soutient-elle les pays à revenu faible et intermédiaire dans leur développement économique et leur action de lutte contre la pauvreté ?

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Événements passés

Brancher l'Afrique : quelles solutions pour accélérer l'accès à l'énergie et améliorer les conditions de vie

Comment développer à grande échelle les solutions et les investissements qui permettront de raccorder à l'électricité des millions d’habitants en Afrique et de transformer les économies de la région ? Suivez notre évènement pour en savoir plus.

Financer la transition énergétique dans le secteur de l'électricité

La nouvelle approche de la Banque mondiale, baptisée « Scaling Up to Phase Down », propose un cercle vertueux en six étapes pour aider ces pays à surmonter les obstacles qui empêchent leur transition énergétique et à mobiliser des investissements.

Le coût humain des crises alimentaire et énergétique

Cette discussion illustrera par des exemples concrets les efforts déployés par les pays afin de répondre aux urgences face à la double crise énergétique et alimentaire sans pour autant compromettre, à long terme, leurs objectifs d’efficacité, de durabilité et de résilience.

Débloquer des financements pour l’action climatique

Pour concrétiser les promesses de l’accord de Paris sur le climat, il faudra lever des milliers de milliards de dollars en investissements publics et privés. Au cours de ce débat de haut niveau, le président du Groupe de la Banque mondiale sera entouré de leaders de la lutte contre le changement climatique, de ministres, de philanthropes et de dirigeants du secteur privé. Ensemble, ils s’attacheront à faire le point sur les actions déjà en cours, à déterminer jusqu’où il faut aller et à donner leur vision d’un avenir sobre en carbone. 

Relever le défi mondial de l'énergie

Dans une nouvelle publication à paraître, le Groupe de la Banque mondiale propose la première grille d’évaluation du climat de l’investissement pour le secteur de l’énergie. Ce nouvel outil, baptisé Regulatory Indicators for Sustainable Energy (RISE), a permis d’apprécier le climat de l’investissement dans 111 pays en se penchant sur trois aspects clés : l’accès à l’énergie, l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables. Si, globalement, de nombreux pays ont saisi l’enjeu que constitue l’énergie durable, il reste encore beaucoup à faire pour être à la hauteur des objectifs ambitieux que s’est fixés la communauté internationale en matière énergétique et climatique. À l’issue de la présentation du rapport, une discussion permettra de se pencher sur les mesures que les pays pourraient adopter pour créer un climat favorable aux investissements publics et privés dans le secteur des énergies renouvelables. Cet événement est organisé sous ...

Accord de Paris sur le climat : passons à l'action

La communauté internationale doit agir rapidement pour tenir les promesses de l’accord sur le climat obtenu à Paris voici quatre mois et accélérer les mesures en faveur d’une croissance sobre en carbone, a souligné Jim Yong Kim, président du Groupe de la Banque mondiale, en ouverture des Réunions de printemps. En décembre dernier, plus de 190 pays se sont engagés à prendre leur part pour stopper le réchauffement climatique, d’où cet accord historique pour maintenir la hausse des températures en deçà de la barre des 2 °C par rapport à l’ère industrielle, l’objectif consistant à limiter ce réchauffement à 1,5 °C. Dans une semaine, l’accord de Paris sera formellement signé. Le moment est donc venu de faire entendre avec force l’argument financier en faveur des énergies renouvelables, a indiqué Jim Yong Kim : « C’est un enjeu absolument vital. Nous devons agir aujourd’hui, sinon, nos enfants et nos petits-enfants seront tous, sans ...

Libérer l’investissement privé dans les énergies renouvelables

Les mesures visant à accroître les investissements du secteur privé dans les énergies vertes sont essentielles pour soutenir la croissance économique, sécuriser les moyens de subsistance et diminuer les émissions de gaz à effets de serre et la pollution atmosphérique locale. Comment inciter les acteurs privés à investir davantage dans les énergies propres ? Des investisseurs régionaux et mondiaux, un concepteur d’énergies vertes et un haut responsable gouvernemental ont évoqué ensemble des pistes pour transposer à grande échelle les initiatives réussies. Le panel a réfléchi aux moyens de lever des fonds publics en faveur de l’énergie afin de déclencher des apports privés supplémentaires. Le vice-président exécutif et directeur général d’IFC, Jin-Yong Cai, a ouvert les débats qui ont été animés par le ministre de la Planification et de la Coopération internationale de Jordanie, Imad Najib Fakhoury.

La double face de la chute des cours pétroliers : entre hauts et bas

Au cours des six derniers mois, la baisse des prix pétroliers a secoué l’économie mondiale en provoquant des ondes de choc aux conséquences contrastées. Si elle améliore la situation budgétaire des pays importateurs de pétrole, elle est synonyme de difficultés pour les pays exportateurs, et plus particulièrement, parmi eux, ceux qui ne disposent pas de réserves de devises suffisantes.En outre, la communauté internationale craint que cette chute brutale des cours du baril ne nuise aux efforts de maîtrise énergétique et qu’elle ne ralentisse les investissements dans des sources d’énergie alternatives. Quels sont les effets à court et moyen terme de l’évolution des cours du pétrole sur les économies ? Comment bien gérer la volatilité des prix sur les marchés de l’énergie ? Et quel peut être son impact sur la lutte contre le changement climatique ? Nous vous invitons à suivre un grand débat ...

La richesse minière doit profiter aux pauvres

Comment les revenus provenant des industries extractives (pétrole, gaz et mines) peuvent-ils favoriser une prospérité partagée ? Comment canaliser cette richesse de sorte qu’elle contribue à mettre fin à la pauvreté en alimentant une diversification de la croissance et du développement ? Rejoignez le débat avec des responsables politiques et des experts du secteur privé. Les ressources naturelles abondent dans nombre de pays en développement : le pétrole et le gaz en Tanzanie et au Mozambique, le minerai de fer en Guinée, le cuivre en Mongolie, le gaz et l’or en Amérique latine, le pétrole, le gaz, la bauxite et l’or en Asie centrale. Bien gérées, ces ressources peuvent contribuer à un développement durable ; mal gérées, elles risquent d’avoir à long terme des effets préjudiciables pour l’État, la population et l’environnement. Comment l’État peut-il mettre à profit cette richesse minière pour l’investir intelligemment ? ...