Emploi et développement

Comment améliorer les perspectives économiques des femmes et favoriser leur émancipation dans le monde du travail et au sein de leur foyer ? Ces questions seront au cœur de cet évènement qui décryptera les conclusions du nouveau rapport Les Femmes, l’Entreprise et le Droit 2023.

Les dirigeants, innovateurs et artisans du changement réunis pour cet événement sont passés à l’action pour placer les populations au centre des efforts de relance. De tels investissements peuvent non seulement changer la vie des individus, mais aussi créer des sociétés plus inclusives et équitables.

Nos trois invités ont surmonté leur handicap pour entrer au Groupe de la Banque mondiale, où ils connaissent une riche carrière professionnelle. Ils nous font part de leur expérience et de leurs conseils pour marcher sur leurs pas.

Cet événement mettra en lumière la manière dont les échanges ont contribué à la reprise post-COVID, en se penchant sur les mesures qui pourraient permettre de faire du commerce un moteur de croissance économique et de prospérité plus puissant dans l'ensemble du monde. 

Comment les pays peuvent-ils parvenir à décarboner leurs systèmes énergétiques et renoncer au charbon et assurer ainsi une transition juste vers l’abandon des industries très polluantes ? Rejoignez-vous pour un tour d’horizon des actions climatiques qui font leurs preuves à travers le monde.

La Banque mondiale réunit des personnalités de premier plan pour plaider avec force en faveur d’un accès plus équitable aux vaccins pour les pays en développement.

Retrouvez-nous pour une discussion avec des personnalités de premier plan autour des pistes d'action en faveur d’une croissance inclusive dans les économies en développement.

En Afrique comme dans le reste du monde, la pandémie de COVID-19 a révélé l'importance des technologies numériques et la dernière édition du rapport d'Africa's Pulse sur les dernières tendances économiques en Afrique, montre l’importance de miser sur celles-ci pour accélérer la reprise de l’activité sur le continent.  Le développement du numérique améliore non seulement la productivité des emplois existants mais il permet d’en crée de nouveaux, qualifiés et non-qualifiés. De nombreux pays d'Afrique subsaharienne l’ont bien compris et réalisent des investissements massifs dans l’infrastructure digitale et le renforcer des compétences informatiques. Alors que la plupart des pays africains ont plutôt bien résisté à la crise économique déclenchée par le coronavirus, quelles réformes, politiques publiques et investissements devraient-il prioriser pour consolider la reprise économique ? À quoi ressemblera le monde du travail de demain ? Comment inclure la ...

Pour cet épisode de notre série « Behind the Mission », quatre spécialistes du recrutement partagent avec nous leurs conseils et leur savoir pour se frayer un chemin au sein de la Banque mondiale et de la Société financière internationale (IFC).

Annette Dixon, vice-présidente du Groupe de la Banque mondiale pour les Ressources humaines partage son éclairage et ses conseils pour démarrer une carrière dans le développement, et surtout connaître un parcours épanouissant.

Si vous envoyez de l’argent à vos proches restés dans votre pays d’origine, vous contribuez à ce que les économistes appellent les « remises migratoires ». Pour l’expert de la Banque mondiale Dilip Ratha, les transferts d’argent des migrants sont des « dollars enveloppés d’affection », une planche de salut qui permet aux familles des pays en développement de subvenir à leurs besoins d’alimentation, d’habillement, de logement et d’éducation. Alors que la pandémie de COVID-19 et la crise économique continuent de s’étendre, les envois de fonds des travailleurs migrants vers leurs pays d’origine devraient reculer de 14 % d’ici 2021 par rapport aux niveaux d’avant la pandémie. Voir le communiqué de presse 1er entretien en avril 2020 - Mise à jour d'octobre 2020  Voir aussi l'entretien de décembre 2019

L’emploi ne permet pas seulement aux habitants des pays en développement de gagner leur vie. Il contribue aussi à la stabilité d’un pays et à sa croissance économique générale, et recèle la promesse d’un avenir plus radieux. Originaires d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie du Sud, les représentants de gouvernements, les dirigeants d’entreprise et les entrepreneurs réunis pour cet événement ont partagé leurs points de vue et expérience autour de la création d'emplois et de la transformation économique de différents pays. #jobs4growth.

La conférence sur l’état de l’Afrique reprend le thème du dossier spécial du prochain rapport Africa’s Pulse consacré à l’importance du capital humain pour l’amélioration de la productivité des pays africains. L’existence d’une main-d’œuvre très qualifiée et en bonne santé joue un rôle déterminant dans la croissance économique. Elle facilite la conversion à des technologies en mutation rapide et favorise la capacité d’innovation technologique. Comment l’Afrique peut-elle exploiter son capital humain pour accroître la productivité et les revenus par habitant et combler ainsi l’écart important et persistant qui la sépare des économies avancées ?   Assemblées annuelles 2018 : Consultez le programme et inscrivez-vous aux alertes

Un pays ne peut espérer s’imposer dans l’économie mondiale sans une population en bonne santé, instruite et résiliente. D’où cet appel urgent à l’action lancé par des dirigeants et des influenceurs du monde entier quelques heures après la présentation du nouvel indice du capital humain de la Banque mondiale.  (Télécharger le pdf en anglais) Ce troisième sommet annuel sur le capital humain s’ouvre par une discussion de haut niveau entre le Premier ministre de Singapour, Lee Hsien Loong, et le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, autour de la transformation de la nature du travail et de l’urgence à privilégier les investissements humains. Les deux dirigeants insistent aussi sur l’importance de se concentrer sur les résultats et la demande, plus que sur les moyens, ainsi que sur l’enjeu, pour tous les pays évalués dans l’indice, d’agir dans ...

Suivez également le hashtag #IFCMarkets En donnant un coup de projecteur sur la réussite de trois entrepreneuses, le Groupe de la Banque mondiale s’est attachée à mettre en lumière les obstacles auxquels se heurtent les femmes qui souhaitent monter et faire grandir leur entreprise. Ces trois femmes, ce sont Nour Al-Hassan, fondatrice d’une société de traduction qui a démarré avec deux employés et en compte désormais plus de 200, Win Win Tint, qui a transformé le supermarché familial en une enseigne de distribution moderne et de premier plan, et Anta Bathily, qui a gravi les échelons de l’entreprise avicole paternelle jusqu’à piloter sa diversification dans d’autres sphères de l’agroalimentaire. Le problème des femmes entrepreneurs, c’est l’accès aux financements, mais pas seulement, ont indiqué les personnalités réunies aux côtés du président Jim Yong Kim. Les femmes sont également pénalisées ...

Plusieurs ministres et personnalités engagées dans la cause adolescente, dont Melinda Gates, étaient réunis à l’occasion des Réunions de printemps pour mettre en avant l’importance capitale de l’investissement dans la jeunesse pour l’avenir des pays en développement. Un chiffre suffit à s’en convaincre : 90 % des 1,2 milliard d’adolescents dans le monde vivent dans des pays en développement. Le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, a ouvert la discussion en insistant sur la nécessité d’investir de toute urgence dans les adolescents, et dans les filles tout particulièrement. Les jeunes ont des aspirations et, s’ils n’ont pas la possibilité de les concrétiser, leurs frustrations risquent de les conduire sur le chemin de l’extrémisme et de la migration. En outre, les pays ne seront pas en mesure d’affronter la concurrence de l’économie mondiale s’ils ne se consacrent pas aux ...

Dans les États fragiles, l’emploi constitue un facteur capital de stabilité, et le secteur privé une source capitale de débouchés. Mais, dans une situation de fragilité, la création d’emplois par le secteur privé pose de nombreuses difficultés. Ce panel de haut niveau se penchera sur ces difficultés, en mettant en évidence quelles doivent être les priorités dans l’élaboration des programmes de promotion de l’emploi dans les situations de fragilité et de conflit. Peut-on, en mettant l’accent sur l’emploi, améliorer les choix de politique macroéconomique et budgétaire, au profit d’une croissance partagée ? Quelles sont les perspectives de débouchés dans les pays qui font face à un afflux de réfugiés et comment faire en sorte qu’elles profitent aux populations déplacées comme aux populations d’accueil ? Les pays peuvent-ils favoriser l’investissement intérieur dans certaines zones ou des secteurs ...

Un milliard de personnes vont arriver sur le marché du travail au cours de la prochaine décennie, ce qui signifie que l’économie mondiale devra créer 5 millions d’emplois tous les mois ne serait-ce que pour préserver le niveau des taux d’emploi. L’offre de débouchés de qualité pour les jeunes doit constituer une priorité mondiale. Cet événement a été l’occasion de dévoiler une initiative mondiale destinée à s’attaquer aux défis du chômage et du sous-emploi chez les jeunes, dans le cadre d’une action qui est étroitement liée à l’objectif ambitieux que s’est fixé le Groupe de la Banque mondiale : mettre fin à l’extrême pauvreté et promouvoir une prospérité partagée pour les 40 % les plus pauvres d’ici 2030. Ce rendez-vous sans précédent, qui a réuni des acteurs issus des différents champs concernés (pouvoirs publics, monde de l’entreprise, ...